Vendredi 13 octobre à 15h30, RDV devant la préfecture de Carcassonne pour dire NON au projet TDN d’Areva Malvési.
à l’initiative des familles papillons
Vendredi 13 octobre à 15h30, RDV devant la préfecture de Carcassonne pour dire NON au projet TDN d’Areva Malvési.
à l’initiative des familles papillons
Le samedi 15 avril 2017, une cinquantaine de militants du collectif « stop uranium » ont bloqué un train sortant de l’usine Areva Malvési.
Régulièrement, des trains chargés de tetrafluorure d’uranium (UF4) circulent sur la petite ligne ferroviaire qui relie Bize à Narbonne, ils sont à destination de l’usine Areva de Pierrelatte dans la Drôme.
Le train s’est arrêté après l’explosion de pétards posés sur les rails. Nous sommes alors sortis des buissons sur le bord des voies pour installer un trépied que deux militantes ont escaladé.
Les banderoles « arrêt du nucléaire » ont été déployées.
Des journalistes de médias locaux et nationaux ont couvert l’événement.
La locomotive du train, dans laquelle la conductrice attendait patiemment, a été recouverte d’autocollants.
Le train comportait 13 conteneurs citernes d’une capacité unitaire de 30 tonnes ou 15,8 m3, émettant une radioactivité de 475 gigabecquerels (GBq). Soit un total d’environ 400 tonnes d’uranium émettant près de 6 000 GBq.
A l’aide d’un scintillomètre, les mesures des militants ont atteint plus de 11 000 coups par seconde à proximité des wagons au centre du train, alors que le niveau ambiant normal est d’environ 50 coups par secondes. Avec un dosimètre de type radex 1503 situé à environ 5 mètres du train, une militante a mesuré un débit de dose de 0,41 microsiverts par heure.
Le projet Thor d’Areva Malvési semble avoir du plomb dans l’aile.
En dépit de la direction d’Areva, qui annonce lundi 20 mars dans l’indépendant que le traitement des nitrates est « la » solution d’avenir, le mouvement d’opposition à ce projet prend de l’ampleur.
La pétition lancée le 5 mars atteint en trois semaines environ 2800 signatures, dont 1800 sur internet, le reste en version papier. Vous pouvez signer cette pétition en cliquant sur le lien-ci-dessous :
https://www.petitions24.net/non_a_la_surpollution_atmospherique_dareva_malvesi
Samedi 25 mars, le Collectif de vigilance des déchets de Malvési (Covidem) appelle à un rassemblement familial à Moussan, rue du 1er mai, à partir de 11h00 ! Marche dans le village et pic-nic tiré du sac.
Vous pouvez retrouver tous les évenements et informations du Covidem sur sa page facebook : https://www.facebook.com/covidem/
Le conseil municipal de Narbonne du 6 avril prochain réunira les associations RUBRESUS et ECCLA pour exposer la problématique environnementale du projet Thor devant les élus.
Le Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (CODERST) doit normalement se réunir le 31 mars pour ensuite donner son avis sur la projet Thor à la préfecture de l’Aude, qui s’est donné jusqu’au 9 mai pour statuer.
Fichier pdf prêt à imprimer : petitionv4.pdf
En ce début d’année 2017, la direction de l’usine Areva Malvési est confrontée à deux conflits, l’un avec les écologistes, l’autre avec les travailleurs du site :
Le jeudi 16 février a eu lieu la réunion publique organisée par le collectif de vigilance sur les déchêts de Malvési (Covidem).
Communiqué de presse du Collectif Audois « Sortir du nucléaire » (SDN11) à Narbonne le 26 octobre 2016
Les militants du Réseau Sortir du Nucléaire de l’Aude se joignent à l’association de défense de l’environnement Rubrésus et à l’association ECCLA pour dénoncer les prétentions mensongères du projet de réduction des effluents liquides de l’usine d’Areva Malvési (ex-Comurhex).
Le 13 octobre dernier, un reportage de Fance 3 intitulé « Une solution pour les déchets d’Areva à Malvési » aurait pu faire croire qu’il s’agissait de la solution aux déchets de l’usine AREVA de Narbonne. Il n’en est rien puisqu’en terme de radioactivité (calculée en Becquerel), le projet ne concerne que 1 % des déchets présents sur le site. Une fois qu’ils seront solidifiés, quel sera leur devenir ? Ils seront dirigés vers un centre de l’ANDRA pour être en quelque sorte cachés sous le tapis ! Quant aux 440 000 tonnes de déchets solides stockés et représentant 99 % de la radioactivité de notre site, ils ne sont pas concernés par ce projet !
Après avoir caché la nature de ces déchets pendant des dizaines d’années, une fois de plus, le lobby nucléaire montre comment il peut manipuler l’opinion pour parvenir à ses fins et tenter de nous faire accepter cette industrie mortifère. Suivant les aveux d’EDF, nous aurons cet hiver, au moins 12 réacteurs sur 58, à l’arrêt. En cause, les opérations de rafistolage des vieilles centrales et les vérifications techniques rendues nécessaires par une sécurité douteuse.
EdF a anticipé l’hiver en passant des contrats sur le marché de gros à 80 € par mégawatt, soit plus cher que le prix de revient des éoliennes terrestres, dernière génération. Nous pouvons d’ores et déjà réduire la production d’électricité nucléaire qui coûte de plus en plus cher et souvent plus que les énergies renouvelables. Depuis plusieurs années, la consommation stagne ou augmente très peu ; isolation des locaux et efficacité énergétique ne sont pas de vains mots. EdF essaie de contrecarrer ce phénomène avec force de publicité nous promettant un avenir électrique radieux plein de voitures électriques. En attendant, le présent est irradieux et la conclusion doit s’imposer à tous : sortons du nucléaire et au plus vite !
Version téléchargeable et imprimable : cp-reduction-dechets-malvezi.pdf
Liens externes (mis à jour en décembre 2016):
Le samedi 24 septembre 2016 à 11h56, un convoi d’uranium est resté à l’arrêt en gare de triage de Narbonne, à quelques mètres des quais sur lesquels les usagers attendent leur train. Il s’agit d’un convoi de tetrafluorure d’uranium (UF4) à destination de l’usine Comurhex de Pierrelatte pour être enrichi afin de produire du combustible nucléaire.
En effet, depuis le blocage du camion d’UF4 par les militants du collectif « stop uranium » en septembre 2013 (voir à ce sujet la vidéo sur notre site internet), les transports d’UF4 provenant de l’usine Areva Malvési ne passent plus par la route mais exclusivement par le rail, à raison d’un train par semaine tous les samedis matin selon nos observations.
On reconnait le contenu radioactif des neuf wagons grâce à leur forme de citerne qui ressemble à celle des camions qui transportaient l’UF4 jusqu’en 2013. Ils ont aussi un petit losange jaune marqué d’un trèfle au milieu de chaque wagon. La récente locomotive BB 460 015, de marque Vossloh, a été fabriquée en 2006 en Allemagne.
Chaque semaine, l’usine Areva de Malvési fait transiter ses dangereuses matières radioactives et chimiques à proximité des habitations et des usagers du rail, sans aucune information ni protection du public.
C’est une première en France : la « faute inexcusable » d’un employeur vient d’être reconnue, suite à la mort d’un sous-traitant du nucléaire, Christian Verronneau, emporté par un cancer broncho-pulmonaire à l’âge de 57 ans.
Cf. article de l’observatoire des multinationales
Proposé par l’Association « Pour une Constituante » dans le cadre de son partenariat avec Radio Aligre, voici une émission d’une heure qui retrace les relations entre la France et l’Afrique du temps des colonies au XXIème siècle.
Le plus grand parc solaire « participatif » de France devrait voir le jour à Narbonne fin 2017.
L’opérateur Valorem travaille avec les associations Energies participatives du Narbonnais (EPN) et Enercoop sur un projet de ferme photovoltaïque au sol de 12 MWc, voisine du site de Malvési d’Areva à Narbonne (Aude).
Polar, thriller, scandale. Et même affaire d’état ! Tout y est dans ce dossier sulfureux qui porte un nom : Uramin.
Émission du 10 janvier 2015 sur France Inter. Sources :
Émission Pièces à conviction Affaire Areva 3 milliards en fumée diffusée sur France 3 le 10 décembre 2014.
Émission de radio diffusée sur France Inter le 25 janvier 2014, avec : Maryse Arditi , physicienne ; Michel Leclerc , ancien employé de la Comurhex ; Didier Latorre , porte parole du Collectif STOP-Uranium ; Sandrine Camps et Emma Cowley , riveraines
Le 12 septembre 2013, une vingtaine de militants du collectif Stop Uranium bloquent de manière pacifique un chargement de d’uranium en provenance de l’usine Comurhex Malvési près de Narbonne.
Voir aussi :